Harcèlement... Et Pistolet !

J'écris cette tournure, elle a un potentiel d'audience grâce à un mot rare (lol !): harcèlement épistolaire.

Vu qu'on agite encore la diffamation, quand j'ai passé plusieurs heures, pour rien, à réviser mes publications exprimant artistiquement des opinions et questions strictement personnelles, sans leur accorder une importance et une valeur qu'elles n'ont pas, j'informe tout lecteur que ce message est une réflexion d'ordre général qui ne vise personne.

Peut-on qualifier de ce comportement (harcèlement épistolaire) une personne qui n'a pas entamé, et ne clôturera pas, un échange de courriers, dont certains contiennent des injures et des accusations gratuites, qui tous contiennent des imprécisions ayant engendré de justes -ou moins fondées- interrogations ?

Peut-être... Mais si ces échanges font suite à des décisions volontaires pouvant relever d'atteinte au droit des salariés, d'intimidation, de mépris, de mensonge sur les possibilités de formation et d'évolution professionnelle, de provocations, de discrimination et d'atteinte à la liberté d'expression, ne sont-ils pas alors une preuve que ces pratiques influent lourdement sur le comportement des personnes qui en sont victimes ? La détresse morale créée, oui, nuit visiblement à tout le monde...

En France, c'est la justice et personne d'autre qui est autorisée à déterminer ce qui est pénalement répréhensible.