Amélie m'a dit
Pour les incultes (...mais non, pour les non-experts en culture d'Olivier...), le titre de mon message est aussi celui d'une chanson d'Alizée.
Amélie Nothomb se ferait presque doucereuse à mes yeux malgré son titre (en fait, cet acide est un tout petit -pas si petit- détail de l'histoire). Ou alors on s'habitue à l'horreur ordinaire... La vie est bien...
En tout cas, la lecture m'a plu. J'ai réussi à prolonger sur plusieurs jours...
La situation de groupe décrite m'a beaucoup intéressé, puisque depuis ma prise de poste au foyer, la vie de groupe est mon quotidien, avec des protagonistes plus ou moins importants. Très facile, alors, de projeter dans ma réalité une (des) Pannonique et une (des) Zdena... J'ai adoré aussi tout un passage sur l'importance d'un prénom prononcé...
Si vous n'avez toujours rien lu d'Amélie, faîtes-le. Pour celui-là, c'est faisable en trois heures. Et ce soir, sur France Télévisions (2 ou 3, mon blog n'est pas un programme-télé, non mais !), c'est la version cinéma de Stupeur et Tremblements.
Je vais découvrir ça tout à l'heure...